Skip to Content

Les 5 mythes du Smart Building

et la réalité qui fait du bien : on fait le point
Le Smart Building est un sujet qui fait rêver… mais qui fait aussi un peu peur. Beaucoup imaginent des installations complexes, chères et réservées aux bâtiments neufs. Spoiler : ce n’est pas vrai

Voici les 5 mythes les plus fréquents et ce qu’il faut vraiment savoir.


# 1 : « C’est compliqué à installer »


Faux. La majorité des solutions Smart Building modernes sont plug & play. Beaucoup fonctionnent en radio et sont pré-appairées avant livraison.

Un électricien ou un technicien formé quelques heures peut tout installer sans difficulté. 

Comme il existe des solutions radio type LoraWan, il n’y a pas besoin de travaux.

En bref : simple à mettre en place, rapide à déployer et immédiatement opérationnel.


# 2 : « Il faudra tout changer »


Encore faux. L’idée du Smart Building n’est pas de remplacer vos installations existantes, mais de les connecter et optimiser.

Vous avez déjà des capteurs ou un logiciel de contrôle ? On peut simplement ajouter de nouvelles données et intégrer le tout dans votre dashboard existant.


Vous avez des capteurs ? On peut juste ajouter la couche de détail qui nous manque pour bien interpréter les données.


Le même outil, mais avec plus de précision, de visibilité et de contrôle.


#3 : « Ce n’est utile que pour les bâtiments modernes »


Pas du tout ! Les bâtiments anciens offrent souvent des résultats spectaculaires.

Si votre bâtiment permet d’ouvrir les fenêtres, de chauffer et de climatiser en même temps, les économies peuvent atteindre jusqu’à 70 % sur la facture d’énergie grâce à une optimisation fine.

Autre avantage : la digitalisation permet de gagner des points sur les certifications énergétiques ou le DPE, et de rendre le bâtiment attractif pour des locataires exigeants en matière de données.


Bref : la modernité n’est pas réservée aux constructions récentes.


#4 : « Le Smart n’est utile que pour l’énergie »


Oui, l’énergie est la priorité, car elle impacte directement les coûts. Mais les applications sont beaucoup plus larges :

  • Irrigation et gestion de l’eau
  • Sécurité et anti-intrusion
  • Suivi de la chaîne du froid
  • Inclusion et accessibilité
  • Anti-collision et contrôle d’accès

et la liste est longue, trè longue. 


Le Smart Building est ultrapolyvalent, et peut faire partie de projets #SmartCity.


#5 : « Le Smart, c’est cher »


Faux. Beaucoup de solutions ne nécessitent aucun gros travaux, donc le coût reste limité.

De plus, il existe souvent des subventions pour la digitalisation et l’efficacité énergétique. 

Autre exemple concret : la qualité de l’air en biotech peut coûter 4 €/m²/an, soit moins de 1 % du loyer, ou 40 € par employé/an, pour améliorer confort, concentration et limiter les arrêts maladie.


Une dépense minime pour un impact réel sur le bien-être et la performance.

Conclusion : le Smart Building, accessible et rentable


Les idées reçues ont la vie dure, mais la réalité est simple : le Smart Building est facile à installer, compatible avec vos installations existantes, rentable et efficace même sur les bâtiments anciens.
Si vous voulez optimiser vos bâtiments, réduire vos coûts et améliorer le confort des occupants, il est temps d’en parler !

Résumé en vidéo

Les 5 mythes du Smart Building
moien@indoorforest.lu September 24, 2025
Share this post
Tags
C'est quoi le Cool Roofing ?
une solution simple et écoresponsable contre la surchauffe des bâtiments